«Tu n’as pas le temps ? Eh bien prie plus ! »
Pour moi, ce week-end de prière peut se synthétiser en trois mots : rencontre, progression, ambition.
Je rends grâce au Seigneur pour toutes les personnes rencontrées lors de ce week-end, je le remercie pour toutes les merveilleuses discussions que nous avons eues. Merci, Seigneur, de t’être exprimé à travers ces amis.
J’ai découvert des jeunes, des jeunes qui ont soif comme moi de donner toujours plus de place à Dieu et de se donner toujours plus pour approfondir leur relation à Dieu et avec Dieu.
Dans sa vie de prière, on peut souvent se dire « je sais pas comment prier » ou « je sais pas quoi dire » ou « je m’ennuie » mais, avec les topos sur les différentes écoles de prière, j’ai pu apprendre à prier, m’ouvrir à la prière. Non pas que je ne priais pas avant, mais j’ai redécouvert la prière. J’ai appris à découvrir sa beauté, sa nécessité et sa diversité.
Il est devenu évident que la prière est également un lieu d’enseignement, on y apprend sur Dieu, sur soi, sur nos relations aux autres, à son environnement…
La prière devient non seulement nourrissante mais aussi fructueuse.
Ce week-end m’a également fait réaliser qu’il fallait être ambitieux dans la prière et j’ai trouvé cela merveilleux de voir ces jeunes qui mettent en place des techniques afin de prier toujours plus avec le Christ.
J’ai eu le plaisir de découvrir, grâce au témoignage et à l’exemple de certains jeunes, cette volonté d’ambition dans la prière, cette volonté de viser toujours plus haut et d’en faire toujours plus dans sa vie de prière. Cela a allumé en moi l’ardent désir de me lancer des défis afin de faire de ma vie une vie de prière et de louange permanente, en y allant pas à pas et en cédant toujours plus de place a cet ami si cher à mon cœur : Jésus.
Enfin, j’aimerais clore mon témoignage par ses trois phrases qui m’habitent depuis mon retour de ce week-end :
« C’est comme ça et ça peut être comme ça » (Mariana Esquer)
« Je le regarde et il me regarde » : réponse d’un villageois au saint curé d’Ars qui lui posait une question sur sa venue quotidienne à l’église hors des heures d’office.
Et « tu n’as pas le temps ? Eh bien, prie plus ! »